Pauline soumise à l’amour

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il y a 6 ans

S’il était des rituels auxquels elle tenait particulièrement, celui du mercredi restait son préféré. Sophie l’avait surnommé Le jour fripon car elle le consacrait à l’accomplissement de l’un de ses fantasmes. Il arrivait également, car elle était de nature altruiste, que telle une madone méritant son paradis, elle s’occupât d’honorer celui d’un autre.

Ce mercredi-là était en effet consacré au don, et elle avait choisi de satisfaire les appétits voraces de l’un de ses amants. Depuis plusieurs mois, il lui avait raconté comment il aimerait, avec son aide, posséder et asservir une débutante en libertinage. La chose ne fut pas aisée car la perle était rare, mais à f o r c e de soirées passées sur Internet elle avait trouvé en Pauline toutes les caractéristiques à même de plaire à son tendre amant. Sophie et Pauline s’étaient d’abord rencontrées autour d’un café, et l’échange ce jour-là avait suffi à réveiller les ardeurs entre ses cuisses. Les lèvres framboise de Pauline lui donnaient envie de les mordre, et les formes sous son chemisier laissaient deviner une poitrine ferme et accueillante. Par deux fois elle avait dû aller aux toilettes soulager la douleur des battements intenses que ses lèvres lui faisaient subir. Et c’était le string auréolé de sa cyprine qu’elle s’était ensuite rendue chez Grégoire afin de livrer son compte rendu.

Grégoire possédait un petit appartement à deux pas de la place du Trocadéro et Sophie aimait s’y faire prendre tout en admirant la Tour Eiffel. Il avait décoré avec goût un salon moderne dans ce style scandinave minimaliste mais néanmoins confortable où l’on trouvait différents fauteuils permettant à raison de s’asseoir mais également de s’agenouiller comme sur un prie-Dieu ; à défaut qu’il y pratiquait, avec ferveur toutefois, diverses levrettes fort peu catholiques. La première fois que Sophie s’était rendue chez lui, elle n’avait pu voir que le vestibule car il l’avait plaquée au mur sitôt entrée et l’avait prise avec ardeur jusqu’à ce qu’elle crie grâce en se tenant au porte-manteau.

Les fois suivantes, ils avaient pris soin d’honorer chaque pièce, chaque meuble, chaque millimètre de parquet ciré et de moquette qui garnissait cette garçonnière. « Lupanar » eût été un terme plus juste encore puisque cet appartement n’était en réalité que le lieu de débauche de Grégoire, par ailleurs marié, tout comme Sophie. Depuis plusieurs années ils avaient pris l’habitude de s’y retrouver, bien souvent le mercredi, et s’adonnaient à la chose sans se soucier de la moindre culpabilité. Quand elle eut décrit Pauline et l’effet qu’elle faisait à son con, Grégoire lui donna son feu vert pour qu’elle l’amène, si possible, dès le mercredi suivant. Pauline accepta avec joie et prit en note et l’adresse et le code pour monter à l’appartement de Grégoire. Sophie ayant son propre jeu de clefs, elle entra et constata qu’il n’était pas encore arrivé. Et Pauline ne serait pas là avant une bonne demi-heure. Elle se rendit à la salle de bain, vérifiant machinalement son maquillage, retraçant le contour de ses lèvres gourmandes, étalant un rouge à lèvres rubis qu’elle savait être le préféré de son complice quand elle lui faisait une fellation. C’était d’ailleurs son projet dans l’immédiat, du moins quand il serait enfin là ! Elle espérait l’exciter davantage, légèrement jalouse des attributs juvéniles de leur nouvelle protégée. En s’observant dans la glace, elle constata qu’elle n’avait pas à rougir de ses atouts.

La trentaine était bien entamée mais elle lui avait apporté une assurance dans le regard qui pouvait désarçonner n’importe quel homme. D’ailleurs, elle aimait particulièrement regarder l’homme dont elle honorait la verge de toute sa langue, droit dans les yeux. Elle se retourna pour lisser le tissu de sa jupe-crayon noire. Ses fesses arrondies y étaient serrées et formaient un adorable coeur qu’on ne demandait qu’à ouvrir. Elle avait pris soin d’enfiler un chemisier blanc de soie fine, si fine qu’on y devinait sans peine les dentelles qu’elle portait en dessous. Elle n’avait pas besoin de plus d’artifices, la Nature ayant eu la bonne idée de la doter d’un décolleté fort généreux. Grégoire lui avait commandé cette tenue de secrétaire, de maîtresse femme autoritaire. Il n’avait omis aucun détail : talons hauts, bas nylon clairs avec une fine ligne noire pour souligner l’arrière de ses cuisses, corset noir, chignon serré et lunettes sur le nez. Il aimait énormément quand elle portait ses lunettes. Il avait également demandé à Pauline, par l’intermédiaire de Sophie, de se vêtir de sous-vêtements en coton blanc et d’une robe d’été légère pour souligner la pureté et le dépucelage qu’elle allait en quelque sorte subir ce jour-là.

Sophie commençait à s’impatienter mais se souvint bien vite qu’elle avait le défaut d’être systématiquement en avance à ses rendez-vous. Elle arpenta l’appartement, réfléchissant à la tournure qu’allaient prendre les événements de l’après-midi, et le sourire brûlant des lèvres charnues de Pauline lui revint en mémoire. Elle avait une folle envie de se caresser, mais si Grégoire arrivait à ce moment-là il la punirait d’avoir commencé sans lui. Punition qui serait par ailleurs accueillie avec une soumission sur jouée, et le délice d’avoir été prise la main dans le sac. Sophie aimait qu’on la domine, même si elle avait encore parfois l’orgueil de prétendre le contraire. Elle éprouvait un plaisir non feint lorsqu’on lui claquait vigoureusement les fesses du plat de la main comme pour lui faire expier tous les péchés de son âme.

Elle fut tentée de commencer quand elle entendit du bruit sur le palier. Elle entrebâilla la porte et constata, un peu troublée, que Grégoire et Pauline avaient commencé à faire connaissance. En effet, la jeune femme était timidement plantée face à Grégoire, le visage baissé, comme on attendrait une punition du proviseur, les yeux rivés sur ses chaussures. Grégoire était en train d’inspecter la perle rare. Il en faisait le tour comme on choisit une voiture puis, satisfait de ce qu’il voyait, dit à Pauline qu’elle pouvait entrer. Sophie s’écarta et vit passer une Pauline féline, jouvencelle sur le point de devenir icône imm o r t alisée sur l’autel de leur passion. Les cheveux ondulants sur ses épaules donnaient à Sophie une envie irrépressible d’y plonger les mains, le nez, le corps entier pour se noyer dans cette masse brune et divinement parfumée. Mais il s’agissait du fantasme de Grégoire, et en aucun cas Sophie n’aurait pris les devants sans un ordre de son amant.

Il fit entrer la jeune femme dans le salon, lui ordonna de se tenir debout dos à la fenêtre et s’installa avec Sophie dans un grand fauteuil crapaud où elle se souvenait avoir été sodomisée avec talent et moult orgasmes à la clé. Pauline voulut parler, mais aussitôt Grégoire l’en empêcha d’un simple geste de la main. Il se mit à discuter avec Sophie, badinant et ignorant totalement la nymphette qui obscurcissait la Tour Eiffel. Sophie ne parvenait pas à détacher ses yeux du corps magnifique que la robe légère de Pauline laissait deviner. Sa poitrine et ses hanches formaient un sablier, si bien qu’on hésitait à plonger d’abord entre ses seins ou directement dans son con. Ses longs cheveux noirs ondulaient autour d’un visage aux traits très fins dont on notait surtout la bouche charnue et des yeux noisette ressemblant étrangement à des cookies. Le grain de sa peau était si clair qu’elle aurait pu prétendre au premier rôle dans Blanche-Neige. ...

Sophie était émerveillée face à tant de beauté. Grégoire semblait parfaitement hermétique à tout cela. Mais elle n’était pas dupe : elle lui connaissait un merveilleux talent d’acteur. Tout à coup, il se mit à parler, d’une voix dure, qui lui ressemblait peu : Pauline, culotte ! La jeune femme resta interdite quelques instants, puis comme Grégoire se montrait insistant, elle retira sa culotte en coton. Il la tendit à Sophie en lui ordonnant de la sentir, de la lécher, de s’imprégner de son parfum. Sophie exultait. Elle n’avait pas eu beaucoup d’expériences féminines mais Pauline lui faisait oublier tout d’elle-même. Pour tout dire, elle était si excitée qu’elle aurait pu être prise par n’importe qui. Elle avança sa main pour caresser la hanche de la jeune femme mais Grégoire se fâcha. Il tenait à décider de tout et ne laisserait Sophie et Pauline libres de leurs mouvements que lorsqu’il aurait été satisfait.

Embrasse-la.

Le moment que Sophie avait tant attendu arrivait enfin. Du revers de la main, elle caressa la joue de Pauline, déposa un baiser doux sur ses lèvres, puis les écarta de sa langue. La bouche de leur esclave était un délicieux fruit qu’elle aurait croqué avec plaisir si elle avait pu. Elle colla son corps contre celui de Pauline qui vint également enlacer Sophie en gémissant. Grégoire stoppa net cet échange : Tu ne gémiras que sur mon ordre. Il s’approcha à son tour, écartant Sophie, et prit lui-même possession de cette bouche. Aussitôt son sexe se gonfla.

La langue râpeuse et rose de la jouvencelle venait le laper ; il avait hâte de la sentir oeuvrer sur sa queue. Il ouvrit sa braguette et lui ordonna de le sucer. Pauline s’agenouilla, déposa de petits baisers sur le gland turgescent mais ne prit pas la queue dans sa bouche. Elle le défiait. Sophie ! Sophie se saisit d’une règle plate et claqua les fesses de la rebelle. Elle poussa un petit cri et il en profita pour enfourner jusqu’à la garde son vit d’une taille plus qu’honorable. Pauline, suffocante, se mit alors à le sucer avec vigueur. Sa langue s’enroulait autour de son gland, saisissait sa hampe, aspirait chaque petite perle de son jus qui commençait à trahir son excitation. Quand il vit qu’elle y prenait du plaisir, il arrêta aussitôt, se recula et lui ordonna à nouveau de se tenir dos à la fenêtre. Puis il demanda à Sophie de déshabiller entièrement leur protégée. Il ouvrit grand les fenêtres.

On pouvait certainement apercevoir ce cul magnifique depuis la place. Les touristes voyeurs qui jouaient avec les jumelles de la Tour pouvaient se vanter d’en avoir pour leur argent. Sophie fut invitée à se déshabiller également, mais elle dut garder le corset et les bas. Sa chatte épilée sentait le courant d’air qui traversait l’appartement tandis que Grégoire l’installait sur la table basse, les jambes écartées, face à Pauline.

Lèche-la.

Le sexe de Sophie était tel un abricot. Les grandes lèvres étaient si gonflées qu’on n’apercevait pas les petites, laissant même penser qu’il s’agissait d’un territoire vierge, jamais encore honoré comme il se doit ni par une langue, ni par un sexe vigoureux. Sa chatte avait l’élasticité de celle d’une pucelle, et chaque passage d’un nouvel amant était comme un dépucelage de ce con serré et étroit. Les caresses langoureuses de Pauline l’avaient déjà bien échauffée, et ce furent des lèvres humides et brillantes de son jus qu’elle exposa à la jeune femme. Pauline s’agenouilla pendant que Grégoire lui attachait les mains dans le dos. Elle ne pourrait jouer que de la langue pour découvrir sa première chatte. En effet, Sophie s’était assurée que Pauline n’avait jamais connu d’expériences saphiques : c’était l’un des critères impérieux de Grégoire. Malgré cela, elle ne rebuta pas du tout à la tâche. Du bout de la langue, elle travailla le clitoris de Sophie, l’aspirant, le relâchant. Elle coulissait dans cette fente étroite, et rien n’aurait laissé penser qu’il s’agissait d’un coup d’essai. Sophie était au bord de l’orgasme ; elle tentait à tout prix de se retenir afin de respecter les ordres de son maître du jour. Quand Grégoire la sentit prête à crier, il fit reculer Pauline et enfourna un gode d’un diamètre magistral dans le sexe lubrifié de Sophie qui jouit en gémissant. Il lui écartela ainsi les entrailles pendant quelques instants durant lesquels elle jouit une seconde fois, sentant son ventre palpiter de plaisir. Quand il eut sorti le gode, il le donna à sucer à Pauline qui s’exécuta. —

Tu aimes ça, salope ?

Oui, Maître.

Sophie était très contente de voir que Pauline respectait parfaitement leur contrat. Grégoire désirait se faire appeler « Maître », et elle ne devrait jamais répondre « non » à la moindre question. Il la fit s’agenouiller sur la table basse. De dehors, on pouvait certainement voir les fesses d’un blanc laiteux, l’anus étoilé habillé d’un léger duvet noir, et dans son prolongement sa grotte, sa chatte, son con, l’endroit que Sophie rêvait de goûter plus que tout au monde en cet instant. Grégoire la f o r ç a à attendre encore un peu car il voulait prendre d’assaut cette chatte en premier. Le gode volumineux, encore imprégné des sécrétions de Sophie et de la salive de Pauline, fut avalé par ce sexe vorace. Il le fit coulisser pendant que Pauline se mordait la lèvre, le visage écrasé sur la table basse, car elle avait reçu ordre de ne pas gémir ni crier. Pour Sophie, la t o r t u r e avait commencé car elle aurait aimé tenir la barre de silicone qui empalait son désir du jour, autant qu’elle aurait voulu être prise également.

Grégoire la soulagea en lui donnant carte blanche pour que le jouet fasse jouir Pauline malgré elle. Sophie choisit alors de l’attacher à une ceinture, objet bien pratique où elle pouvait fixer différents vits de plastique et mimer l’acte masculin. Elle commençait à prendre Pauline en levrette quand elle sentit Grégoire se placer derrière elle. Il faisait glisser sa queue entre ses fesses rondes et voulait la sodomiser pendant qu’elle prendrait Blanche Neige.

L’idée lui plut beaucoup, et c’est d’un geste ample mais calculé que Grégoire entra dans les tréfonds du cul de Sophie, ébranlée par un orgasme ravageur. La petite Pauline n’était pas en reste, laminée par le sexe factice de Sophie ; elle se mit à jouir d’une voix cristalline, comme on chanterait aux anges. Pour la punir de cet affront, Grégoire décida de la prendre lui-même, appuyée cette fois sur l’embrasure de la fenêtre. Si tu cries, tous les passants t’entendront. Il la prit d’abord par le con, écartelant ses cuisses au possible pour que Sophie puisse venir lui caresser le clitoris gonflé et douloureux. Puis il la retourna, de sorte que sa tête et ses épaules basculaient dans le vide, et il la sodomisa sans grand ménagement, libérant la bête en lui. Il jouit fort, vidant ses couilles dans les profondeurs de son cul étroit, peut-être pris pour la première fois.

Vaillante, la jeune femme ne dit mot si ce n’est un « Merci, Maître. » et retourna, chancelante, à l’intérieur de l’appartement. Sophie était revenue s’asseoir sur la table basse. Elle avait ventousé un gode encore plus gros que le précédent et ordonna à Pauline (avec l’accord de Grégoire) de s’empaler dessus. La jeune femme ondula ; on pouvait voir le jouet disparaître puis réapparaître entre ses cuisses. Grégoire entreprit de câliner Sophie tout en caressant nonchalamment sa chatte qu’il connaissait par coeur. Il proposa à Sophie sa queue encore humide et déjà revigorée. Elle commença à le sucer avec délice.

Elle aimait son sexe, la douceur de son gland, la vigueur de cette verge jamais rassasiée. Pendant que la langue de Sophie glissait le long de son membre, Grégoire ordonna à Pauline de les rejoindre. Suce-moi. Leurs langues se mêlèrent, un baiser torride autour de cette verge. Pauline ayant toujours les mains attachées dans le dos, c’est Sophie qui caressait le plus, dirigeante, instructrice : lèche-le plus haut ; enserre son gland de tes lèvres, il aime ça. Puis elle lui attrapa les cheveux et poussa Pauline à avaler ce sexe magistral au plus profond de sa gorge. Grégoire soupirait de plaisir, mais ne se laissa pas aller à jouir car il espérait faire durer encore la chose. Sophie se redressa, saisit Pauline par le bras et lui caressa les cuisses. Sa main glissa, montant, descendant, passant entre ses jambes, découvrant la douceur de l’intérieur des cuisses de la jeune femme, remontant vers son entrejambe, glissant un doigt dans cette chatte humide, ouverte, puis le goûta. Tu t’es déjà goûtée, j’espère ?

Pauline esquissa un « non » de la tête, la bouche toujours écartelée par le sexe de Grégoire. Sophie glissa deux doigts, fouillant, cherchant le point G, sourit en sentant le corps de son esclave se cambrer. Elle glissa encore un doigt, puis le quatrième, et enfin, dans un long râle de Pauline, passa son pouce. Grégoire n’était pas en reste puisqu’il poussait la jeune femme à avaler au plus profond de sa gorge son gland battant, sa verge puissante. Pauline s’étouffait presque, embrochée entre les deux amants. Quand il se sentit près à exploser, Grégoire se retira prestement. Sophie retira également sa main du sexe éprouvé et attendit les ordres.

Il emmena Pauline dans la chambre, lui détacha les mains et l’agenouilla sur le lit, les fesses en l’air. Il lui attacha les chevilles et les poignets à chaque pied de lit. Ainsi écartelée, la jolie débutante attendait de savoir à quelle sauce elle serait mangée. Grégoire apporta une boîte remplie de divers objets oblongs, de différentes tailles. Certains étaient faits de silicone, d’autres étaient des objets plus insolites dans ce type d’entrevue. Il banda les yeux de Pauline, la bâillonna et ordonna à Sophie de filmer à l’aide de son téléphone portable. Il commença par lubrifier le cul de Pauline à l’aide de sa langue. Il visitait chaque aspérité de ce trou, s’imprégnant de son goût amer. Sans s’arrêter, il prit un des objets de la boîte et entreprit le sexe de Pauline. Il la prenait de la sorte puis changeait d’objets. Elle sentit ses entrailles pleines d’un gode somme toute classique, puis des objets moins distincts, des légumes, des crayons en bouquet Il se saisit d’un gode en métal de belle taille qu’il introduisit dans la chatte brûlante de Pauline qui sursauta en sentant l’objet glacé la pénétrer. Il reprit sa feuille de rose pendant qu’il faisait tourner lentement l’objet. Sophie filmait d’une main, se caressait d’une autre. Elle mourait d’envie de les rejoindre.

Grégoire cessa de jouer de a langue pour prendre un second objet, une cravache avec laquelle il caressa les fesses de la jeune femme. Il commença à la fesser, et entre chaque coup la cravate venait coulisser le long de la fente du séant de la belle. Il fouetta un peu plus fort, alternant d’une fesse à l’autre. Il n’irait pas au s a n g mais comptait bien laisser de belles traces v i o l entes sur la peau laiteuse. Quand il sentit ce cul palpiter sous l’afflux de s a n g , il retourna la cravache et la fit pénétrer dans l’anus étoilé de Pauline qui cria. Son cri étouffé par le bâillon excita tant Sophie qu’elle sentit son jus couler le long de ses cuisses. D’un regard implorant, elle demanda à Grégoire s’il voulait bien la laisser prendre part à l’action.

Il accepta en silence, ôtant le bâillon de Pauline. Il installa un gode démesuré entre les mâchoires de la belle et Sophie vint prendre place devant son visage, les jambes écartées. Elle donna l’ordre à Pauline de la prendre, guidant de sa main le gros sexe siliconé dans sa chatte envahie de cyprine. Baisant une femme de sa bouche, baisée par une barre de métal et une cravache, Pauline était littéralement prise par tous les trous. Grégoire se plaça derrière elle pour entrer à son tour dans la chatte glacée, écartelant les chairs sous l’effet du gode et de son sexe large.

À chaque gémissement de la jeune femme il la labourait plus fort, et Sophie, la tenant par les cheveux, la f o r ç a i t à accélérer la cadence dans son con. Ainsi prise, Pauline jouit plusieurs fois, longuement, et ils eurent le plaisir de découvrir qu’elle jouissait comme un homme : de longs jets arrosèrent les jambes de Grégoire de son jus chaud. En le sentant, il jouit à son tour, puis Sophie se mêla à la cacophonie d’orgasmes qui ébranlaient leurs corps. Grégoire retira lentement son sexe ramolli, ôta la cravache du cul meurtri, détacha les liens de Pauline et l’autorisa à s’allonger pour reprendre son souffle. Sophie se lova contre elle ; Grégoire s’allongea à son tour. Il n’avait pas terminé son programme, mais il les laisserait profiter d’une pause méritée avant un second round.

Maxine

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